HISTOIRES
CROISÉES
ASSURER CONTRE VENTS ET MARÉES
Fondateur de l’entreprise maralpine La Miroiterie, Frantz Muller a su s’entourer des conseils de Pierre-Arnaud Fabre, agent général Generali. Ensemble, ils avaient envisagé le pire, c’est ce qui a sauvé La Miroiterie.
La Miroiterie est fournisseur d’entreprises du bâtiment (serrurier, menuisier aluminium ou bois, etc.) Créée en septembre 2015, l’entreprise compte aujourd’hui 4 employés. En tant qu’entrepreneur, Frantz participe aux activités du BNI Sophia Premium (Business Network International) tous les vendredis matin à Sophia Antipolis. Ce lieu d’échanges entre chefs d’entreprises lui a permis de rencontrer Pierre-Arnaud Fabre, agent général de Generali. À cette occasion, Pierre-Arnaud est intervenu pour rappeler l’importance des audits des contrats d’assurance.
Un assuré éclairé
Ce discours a interpellé Frantz et l’a décidé à inviter Pierre-Arnaud à visiter son entreprise. L’audit qu’il a réalisé a été suivi d’une modification de ses contrats pour mieux répondre à l’évolution de La Miroiterie. « Mes contrats n’étaient plus ajustés à mes besoins, Pierre-Arnaud a réalisé la mise à niveau », explique le chef d’entreprise. Cette démarche est capitale car, comme le rappelle Pierre-Arnaud, « si l’estimation des biens et de l’entreprise est inférieure à la réalité, naturellement il y aura un remboursement moindre en cas de sinistre ». La pédagogie et la confiance en l’assureur ont convaincu Frantz.
Sinistre : de la théorie à la pratique
Comme cela arrive hélas régulièrement dans le Sud depuis ces dernières années, les fortes intempéries de 2019 ont inondé Pégomas, la ville où Frantz est installé. Les conséquences ont été désastreuses pour l’ensemble de la région, particulièrement pour La Miroiterie. L’ensemble du parc machines, l’électricité, les meubles, le stock ont été détruits avec plus d’un mètre d’eau dans l’entreprise. Si l’arrêt de la production n’a pas été total grâce à la solidarité de confrères, la situation aurait pu être critique. Heureusement la souscription d’une garantie perte d’exploitation, qui permet de compenser la baisse du chiffre d’affaires suite à un dommage matériel (causé par un évènement prévu au contrat), et de l’option remboursement valeur à neuf ont été salutaires. « Ma trésorerie n’a pas été mise en difficulté, je n’ai engagé aucun frais », relate Frantz, soulagé. Les garanties souscrites ont permis qu’il soit bien indemnisé et la disponibilité de Pierre-Arnaud a fait la différence. « Mon rôle a été d’accompagner Frantz lorsqu’il n’avait plus de perspective », se remémore l’agent général. « On s’entendait déjà bien, mais aujourd’hui notre relation va au-delà de la confiance », conclut l’entrepreneur qui a pu retrouver le chemin de l’atelier en toute sérénité.
LA VALEUR AJOUTÉE D’UN BON CONSEIL
Identifier les risques qui peuvent toucher une entreprise, ce n’est pas comme assurer une habitation ou une voiture. L’agent général doit se déplacer dans les locaux de l’entreprise, comprendre les rouages et les spécificités de l’activité, échanger avec le dirigeant pour établir un diagnostic précis des risques et conseiller les garanties adéquates. Ainsi Pierre-Arnaud Fabre a détecté les lacunes de la précédente couverture d’assurance de Frantz et a pu lui conseiller des garanties plus pertinentes par rapport aux risques encourus par La Miroiterie. Un conseil salutaire qui a permis de garantir la valeur à neuf de son parc de machines. Bien assurer des risques complexes est un métier d’expérience qui ne s’improvise pas!